Je marchais seul
par dessus les étoiles
et crachais le feu
que les hommes pleurent encore
par dessus les étoiles
et crachais le feu
que les hommes pleurent encore
Je vivais comme un Etre
démuni d’espérance
et soufflait dans le vide
jusqu’à ne plus souffrir
démuni d’espérance
et soufflait dans le vide
jusqu’à ne plus souffrir
J’éprouvais tous les maux
comme on aime les autres
et soulevait l’Ordalie
sur un Géant d’Acier
comme on aime les autres
et soulevait l’Ordalie
sur un Géant d’Acier
Je dormais sans dormir
dans les limbes d’antan
et voyageait sans vivre
au firmament d’un corps
dans les limbes d’antan
et voyageait sans vivre
au firmament d’un corps
Je parlais mille langues
inconnues et immondes
et me réveillait nu
au milieu de l’Aurore
inconnues et immondes
et me réveillait nu
au milieu de l’Aurore
J’avais encore espoir
que le temps m’abandonne
et voulais terminer
avec l’infiniment perdu
que le temps m’abandonne
et voulais terminer
avec l’infiniment perdu
Winston Perez
Vous croyez que c’est de la nostalgie ?
J’espère que tes vacances se sont bien passés. Bises en attendant plus de nouvelles.
RépondreSupprimerJe pense bien à toi Diane. Je ne suis plus très présente non plus et tu es la première que je vais visiter depuis mon retour sur le net..
RépondreSupprimerJe re-pense à notre agréable et inattendue promenade dans ta ville.
J'espère seulement que tu vas bien.
Une douce bise à toi ainsi qu'à Louis.
diane que deviens tu ? est ce que Louis va bien ? donnes des nouvelles
RépondreSupprimertu manque a bcp d'entre nous je crois...
je t'embrasse fort
une lectrice de l'ombre depuis aufeminin ....
alex